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  • Photo du rédacteurCollectif INFOCORONA

Pétition en soutien du moratoire sur les vaccins ARN




MORATOIRE :

M. le Conseiller fédéral Alain Berset, Mme Anne Lévy, directrice de l’OFSP, M. Stefan Kuster, chef de la division des Maladies transmissibles, M. Raimund Bruhin, directeur de Swissmedic, Messieurs, Mesdames les médecins cantonaux, Messieurs, Mesdames,


Compte tenu du fait que les promesses d’efficacité des vaccins à ARN annoncées font seulement l’objet de communiqués de presse des laboratoires pharmaceutiques et d’aucune communication scientifique détaillée,


Compte tenu du fait que ces produits à ARN sont proposés moins d’une année après le début des premiers cas recensés de la maladie Covid19, alors qu’il faut normalement plusieurs années pour développer n’importe quel vaccin, et alors que les essais sur les Sars Cov 1 et Mers, virus antérieurs et similaires au Sars Cov 2 actuel, ont été interrompus à cause d’effets indésirables graves,


Compte tenu du fait que les simplifications et les raccourcissements des procédures d’autorisation enfreindraient le principe de précaution,


Compte tenu du fait que les vaccins à ARN ne sont pas, au sens de l’OMS, des vaccins classiques, mais des produits de thérapie génique constitués d’acides nucléiques, et que ces produits à ARN n’éviteraient pas la contagion car ils n’introduisent pas dans les cellules un virus atténué ou inactivé, procédé vaccinal bien connu,


Compte tenu du fait que cette technique, non immunisante, n’a jamais été expérimentée chez l’humain et pousse à la production cellulaire de protéines virales dont on ignore encore si elles seront reconnues par l’organisme ensuite,


Compte tenu du fait qu’on ne connaît pas, à l’heure actuelle, les effets secondaires de ces produits à ARN pour les personnes ayant déjà contracté la maladie de Covid 19, et pour les porteurs asymptomatiques,


Compte tenu du fait que l’être humain doit être protégé contre les abus en matière de procréation médicalement assistée et de génie génétique (art. 119 al. 1 CF) et que la Confédération légifère sur l’utilisation du patrimoine germinal et génétique humain (Ce faisant, elle veille à assurer la protection de la dignité humaine, de la personnalité et de la famille et respecte notamment le principe suivant (art. 119, al. 2, CF) : Le patrimoine génétique et germinal non humain ne peut être ni transféré dans le patrimoine germinal humain ni fusionné avec celui-ci (art. 119, al. 2, lit b. CF)),


Compte tenu du risque d’emballement immunitaire par des anticorps facilitants, et le risque de transcription inverse de l’ARN vers l’ADN, avec modification de notre ADN, dès lors transmissible héréditairement,


Compte tenu du fait que les essais de vaccins se font sur des sujets jeunes et en bonne santé, et compte tenu du fait que la vaccination à ARN est destinée prioritairement aux personnes âgées et handicapées en institution, souvent atteintes de polymorbidités, donc les plus à même de développer des effets indésirables,


Compte tenu de la possibilité imprédictible de générer un virus mutant bien plus pathogène,


Compte tenu du fait que la composition de ces « vaccins », substances adjuvantes, stabilisatrices, nous est inconnue,


Compte tenu également de la situation sanitaire sans précédent et très difficilement gérable dans laquelle nous nous trouvons, il est encore plus risqué d’y ajouter massivement une nouvelle campagne de vaccination, qui plus est « inconnue » et comportant trop peu de données techniques,


Et, finalement, compte tenu du fait que des interactions en lien avec les épidémies saisonnières soient possibles,


La somme des éléments sus-cités représente une double mise en danger du citoyen : de par la situation épidémiologique décrite, mais également sciemment par l’administration de ce type de vaccin. Cette mise de la population sous un double risque n’est médicalement pas acceptable. D’autant plus qu’il existe d’autres vaccins au concept connu, certes actuellement moins bons en matière de pourcentage de couverture vaccinale, mais en amélioration actuelle.


Pour rappel, les autorités politiques et sanitaires chargées du programme vaccinal anti-Covid-19 ont leur responsabilité juridique engagée en cas d’effets potentiels délétères ou létaux. Quant aux laboratoires pharmaceutiques, ils bénéficient de l’impunité juridique, tout en étant les premiers responsables de possibles accidents vaccinaux.


Nous vous rappelons l’article 1 du Code de Nuremberg :

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.


Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée, et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus ; et les conséquences pour sa santé ou sa personne, qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.


L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne, qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie. »


Pour toutes les raisons mentionnées ci-dessus, nous, médecins, pharmaciens, infirmiers, personnels soignants, professionnels de la santé, indépendants ou en institution, conscients de notre responsabilité, exigeons un MORATOIRE IMMÉDIAT sur l’introduction de la vaccination à technologie ARN, jusqu’à ce que l’on dispose de données cliniques démontrées, soit des réponses aux questions concernant les effets secondaires et les effets vaccinaux d’un niveau d’évidence 1, et qu’aucun vaccin de ce type ne soit administré jusqu’à l’échéance de celui-ci, afin de garantir la protection de la santé des citoyens.


Selon le droit conféré et protégé par le Code de Nuremberg, le Code de déontologie médicale et le Serment d’Hippocrate.

Le COLLECTIF SANTÉ, www.collectif-santé.ch

Les MEDECINS CITOYENS, lesmedecinscitoyens@gmail.com

COLLECTIF ALETHEIA, www.aletheia-scimed.ch

Page officielle du moratoire : www.collectif-santé.ch/moratoire-fr »

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